Chapitre 9 : Val, le retour

 Bah ? On dirait que tu t'es levé du mauvais pied ?!
Valentin : ASSASSIMS ! Ça fait un mois que je dors, mais t'était où ?!!!
Tu vois j'étais un peu occupé à déménager en fait ...
Valentin : Un déménagement ça prend pas un mois, ça prend 1 minute !
Oui mais moi je suis pas un sims ! 
Valentin : pfff ...

 Eh bah ça commence bien, à peine je reviens que déjà les factures ! 

Toujours fâché ?
Valentin : Oui !
Occupe-toi bien de ton fils, au moins !

 Et toi ça va ?
Pénélope : tu nous as abandonné ! j'ai des essarts partout à cause de toi ! Je savais que j'aurais pas du accepter de me faire contrôler par un type psimschopate !
On va pas en faire un drame quand même, un mois c'est pas si long ...
Pénélope : si !

 Pénélope : et en plus je crève la dalle !

Mais il y a d'abord ton fils qui te réclame ! 

 

Pénélope : bon, Lancelot, il faut qu'on parle. En ce moment tu n'as pas de jouet, et étant donné qu'on a 8§ d'économies familiales, ça va être un peu compliqué. Donc voilà, en gros tu vas t'ennuyer toute la journée !
Mais il va pas te répondre, il sait pas parler ! Si c'est pas la preuve de sa schizophrénie !

 Pénélope : La cuisine, c'est très important mon grand, mais sache que si t'as pas de poêle tu vas pas pouvoir faire grand chose !
Eh bien finalement il ne vas pas s'ennuyer tant que ça le p'tiot !

 Et comme les salaires viennent d'être versés, le jouet tant convoité apparaît enfin !

 Alors, pas de promotion ? Tu fais toujours la tête ?
Valentin : Moui.
Il faut évoluer un peu, c'est la vie ! Mais tu vois je suis quand même revenu, je ne t'ai donc pas abandonné.
Valentin: Mouais.
Pas très causant !

 Tiens, comme c'est bizarre, devant la télé !

 Pénélope : ça y est il sait parler, maintenant la marche !
Super ! Ils sont intensif tes entraînement, dis-donc !

 Bah tu vois, je crois que Lancelot semble ne pas vouloir coopérer ...

- Le Lendemain -

 Alors, c'est quoi le programme ?!
Valentin : aller au travail. Revenir. Dormir.
C'est vraiment pas la joie ici ! 

 Valentin : Pff, 67§, ils veulent nous ruiner ma parole !
C'est sûr que 67§ tout les trois jours, alors que vous en gagnez 800§ à vous deux en un jour, et tout cela pour le bien de la communauté, pour que ton fils puisse aller à l'école plus tard et tout et tout, c'est cher !

 Et toi, le programme ?
Pénélope : aujourd'hui je reprends le boulot !
Et tu n'es pas stressée ?
Pénélope : Bah pourquoi ?
Reprendre le travail ça signifie ...

 ... Baby-sitter !
Pénélope : my god, j'y avais pas pensé !
Nous vaons donc affaire à un égyptien (ça me rappelle quelqu'un) du nom de Patricq. Très louche tout ça !
Pénélope : tu l'as dit ! Surveille-le !
T'inquiète.

 Donc comme le baby-sitter est arrivé, Valentin à évidemment lâchement abandonné son fils devant le pot sale ...

Pour aller apprendre son jardinage ... normal ...
Valentin : Bah quoi, t'as vu ce qu'on le paye ? Aller, au boulot feignasse !
Quelle mentalité.

 Bon en tous cas, il a l'air d'assez bien s'en occuper, vous pouvez partir tranquille, le petit l'aime déjà !

 Il vide même le pot !
Patricq : Tu crois quoi ? Moi je fait mon boulot, et bien !

 Et le journal périmé, derrière ?
Patricq : faut pas rêver, non plus !
Le baby-sitter presque parfait ...

 Ah, je me disais quand même ! On flemmarde, c'est une honte ! Valenti va être furieux !

 Le pauvre Lancelot, ça fait trois heures qu'il est sur son jeu, abandonné ...

 Les choses sérieuses ! Promotion ?
Pénélope : mais arrête de tput le temps demander, non pas encore ! Mais c'est qui tous ces gens qui me regardent ?
C'est parce que t'as une étoile de célébrité en plus, ça !

 Eh bah dis-donc, vous avez pas autre chose à faire, là ?
Pénélope : comme quoi ?
Ton fils, andouille !
Pénélope : Ah oui, c'est vrai !
Ça promet.

 Pénélope : j'adore peindre !
Tant mieux !

 Je ne me suis même pas posé la question de où tu étais.
Valentin : chut ! Il est en train de faire les spaghettis ! Ce cuisinier est trop fort !
Mouais. C'est toujours la même émission en boucle, mais c'est pas grave.

 Et hop, un anniversaire d'oublié ! Joyeux anniversaire !
Valentin : je vieillis !
Mais non, tu grandis, nuance. Rien ne change.
Valentin : T'es sûr ?
Mais oui !

 La soirée tourne chaud !

 Pénélope : Ah non, pas ce soir !
Valentin : mais ... je croyais qu'on était d'accord !
Pénélope : oui, mais pas ce soir, je suis fatigué. J'ai dit.
Si madame dit, ce sera au prochain chapitre alors !